Le lui ai-je dit?

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il y a 6 ans

Ce récit n'est pas de moi, mais je l'ai trouvé tellement sympathique que j'ai eu envie de le partager.

Son auteur est Amandine.

Je suis dans la voiture et vous attends, nerveuse. Là où je me trouve, je n'ai pas droit d'être et cela m'inquiète. Enfreindre les règles m'est impossible, du moins celles-la. Je suis angoissée à l'idée que l'on vienne me demander des comptes, ou pire, que l'on vienne m'agresser verbalement. Mais qui donc le ferait?

Je vous attendais derrière, vous arrivez devant. Vous m'avez surprise, je crois même avoir sursauté. Votre sourire calme instantanément mes angoisses. Je m'en remets à vous. Je n'ai plus peur de la situation maintenant que vous êtes-là. Et bien sûr, vous trouvez la solution, immédiatement. Serais-je cruche? Je n'ai pas votre assurance, c'est certain.

Nous sortons de la voiture et vous m'embrassez. Vous ai-je dis que vous êtes le plus bel homme qu'il ne m'ait jamais été donné de rencontrer? Vous l'êtes, assurément. Vous avez le charme des princes. Leur accent, aussi. Vous ai-je dis que j'adorais votre accent? Votre voix me trouble. Elle m'attendrit. Elle me fait rire, aussi.

Nous partons bras dessus, bras dessous, jusqu'à votre appartement. Il fait un temps magnifique. Le soleil brille, les décorations de Noël scintillent, la ville est belle... Vous êtes fier de me monter ce quartier que vous aimez beaucoup. Mais déjà nous voilà arrivés devant votre porte. Nous gravissons rapidement les marches. Vous me parlez mais je ne vous entends pas. Mon cœur s'est accéléré. Est-ce l'effort physique de gravir tous ces étages ou est-ce l'appréhension de ce qu'il doit se passer, ensuite?

Vous ouvrez la porte et me voilà, intriguée, dans votre univers. Une multitude de petits papiers sont collés au mur. Vous m'expliquez que ce sont vos idées. Les choses que vous devez faire, aussi. Je trouve cela amusant mais je n'ose les lire, j'aurais l'impression de violer vos pensées.

Vous me préparez un café que vous m'expliquez avoir acheté tout spécialement dans une petite épicerie. Vous vous souveniez que je n'aimais pas le thé. Je ne vous l'ai pas dit mais cela m'a beaucoup touchée. Nous prenons place, moi sur le canapé, vous sur la chaise. Cette chaise dont je ne doute pas un instant de son usage imminent. Vous m'interrogez.

  • Savez-vous ce qu'il va se passer?

Non, je vous avais dit que vous aviez carte blanche.

  • Mais savez-vous pourquoi vous méritez cette fessée?

Anxieuse, je me lève et vais reposer ma tasse dans l'évier.

  • Non, je ne sais pas.

Vous, vous le savez, bien sûr. Vous me l'expliquez et j'en suis désolée. Je vous ai mis dans une situation délicate. Mais comment pouvais-je le deviner?

Vous vous levez et venez m'enlacer par derrière. Vous laissez glisser vos mains sur ma taille, sur mon ventre, sur mes hanches. Vous m'embrassez dans le cou. Vous me dites que je suis belle et je vous réponds que non. Vous me retournez et prenez mon visage entre vos mains.

  • Je vais vous apprendre à dire oui, Mademoiselle!

Je souris. Vos yeux pétillent, les miens aussi, sans doute. Vous me tirez vers la chaise, m'allongez sur vos genoux et la fessée commence. A peine quelques claques et voilà déjà ma jupe qui se soulève. Je proteste mais vous agrippez mes deux mains et les maintenez fermement dans mon dos. Je ne peux rien faire et cela m'amuse. Les claques tombent, fortes. J'aime la manière dont vous fessez, vous l'ais-je dit?

Je voudrais que cet instant dure toujours mais voilà que vous me demandez déjà de me relever. Je m'exécute à contre-cœur. Vous me demandez de me retourner et abaissez ma culotte. Je pose mes mains sur mes fesses pour vous en cacher la vue mais je vous suis reconnaissante de l'avoir fait ainsi. Retournée, c'est moins humiliant. Vous agrippez mon bras et me recouchez sur vos genoux. La fessée reprend, de plus belle. Vais-je dire oui?

Vous me demandez à nouveau de me relever. Déjà? Vous me placez face au mur. Vous me voulez cambrée, jambes écartées. Je vous obéis, un peu. Mes mains viennent caresser mes fesses, elles ont besoin de sentir leur chaleur.

  • Qui vous a dit que vous pouviez bouger vos mains?

A regret, elles reviennent se plaquer au mur. Quelques minutes passent et je sens vos doigts. Ils m'inspectent. Je sais que je suis trempée. Noyée, peut-être? Je sens votre langue contre mon œillet, contre ma chatte, contre mon clitoris. Elle explore, elle suce, elle caresse. Votre langue. Votre langue. Votre langue. Elle n'en finit pas. Je perds pied, le plaisir me submerge.

Vous me prenez dans vos bras et m'embrassez. Ce baiser a le goût de moi. Vous me souriez et je me noie dans vos yeux. Vous ais-je dit que vous aviez les plus beaux yeux que je n'ai jamais vu?

Je passe mes doigts dans les boucles de vos cheveux et vous demande timidement de venir en moi. Vous refusez. Vous viendrez quand vous serez prêt.

-Tu es belle, tu sais.

  • Non.

  • Quoi?

Sourires.

  • Il reste le paddle et la brosse, me rappelez-vous.

Sourires.

Vous me retirez vers la chaise et empoignez le paddle.

  • Embrasse-le.

Je m'exécute et vous m'allongez de nouveau sur vos genoux. La fessée est brûlante cette fois et mes fesses deviennent rapidement très rouges. Mais j'aime la sensation que procure cet instrument. Je ne craquerai pas avec lui… Vous attrapez la brosse et les choses changent en un éclair. A peine une dizaine de coups et mes jambes volent dans les airs.

  • Oui...

Vous arrêtez aussitôt et m'asseyez sur vos genoux. Nous nous embrassons. Vous libérez mes seins, les embrassez, les sucez. Je gémis. Je déboutonne votre chemise et défais votre ceinture. Vous vous débarrassez du reste de vos habits et nous nous jetons sur le lit. Vous caressez, embrassez, léchez, mordillez, titillez chaque parcelle de mon corps. Mon plaisir monte. Je sens qu'il va me submerger à nouveau. Je vous veux en moi. Pas encore. Vous voulez retenir l'instant le plus longtemps possible. Je me laisse aller entre vos mains expertes. Vous ai-je dit qu'aucun homme ne m'avait fait l'amour aussi bien que vous? Bien sûr que je vous l'ai dit, comment aurais-je pu le taire?

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